« Chaque jour, la faim nous affame un peu plus, chaque nuit, un animal meurt dans d’atroce souffrance, résultat du virus qui ronge un peu plus la chaire avec les jours qui passent. Tout les animaux, loups comme autres mammifères, s’enfonce dans une méfiance mortelle. Certains refuse de s’alimenter, d’autres prenne des chances. Il arrive tous les jours de tomber sur une carcasse encore fumante d’un animal qui à du subir la colère des hommes. Ce virus est un véritable sacrilège, mais encore une fois, il faut se plier à leur volonté. Faire ce qu’ils veulent sans avoir envie de se venger ou encore de leur arracher leurs yeux remplit de tellement de mauvaise pensée. Les humaines sont tellement certains d’être les meilleurs, d’être supérieurs à tout être vivant sur terre qu’ils refusent catégoriquement de laisser aux animaux ne serait-ce qu’un once de liberté lorsque ceux-ci croisent leur chemin. Mais bon, nous ne somme pas ici pour déblatérer tout et n’importe quoi. Il y a une histoire derrière tout sa !

Le soleil brillait déjà assez fort. Ce qui clairement voulait dire que la journée était commencée depuis un moment. Les oiseaux chantaient de leur voix roucoulante comme pour dire à tous que la vie valait la peine d’être vécu. Un soupir sombre se fit entendre, ce qui, immédiatement dit taire les volailles. Les bêtes à plume semblaient nerveux, ils ne comprenaient pas d’où ce son froid et mauvais pouvait venir. L’un des oiseaux ouvrit les ailes pour descendre de l’arbre protecteur pour descendre au sol. Ses petites pattes écailleuses s’enfoncèrent très légèrement dans le sol sablonneux. La petite bestiole granivore laissa entendre un très léger roucoulement comme pour se donner du courage puis, en sautillant doucement, elle s’approcha d’un trou dans le sable. Il semblait que le soupir venait de là. Alors que l’oiseau s’approchait doucement, comme attiré par un aimant, les autres se remettaient à piailler, le stress du moment était clairement décelable. Ce fut d’ailleurs la goutte qui fit déborder le vase. Au moment ou le jeune volatile semblait heureux de son courage, une patte plutôt impressionnant émergea du trou à une vitesse surprenante. Elle s’écrasa vigoureusement sur le chétif corps du petit oiseau au plumage coloré. Un piaillement étouffé se fit entendre et sous la peur, les autres volailles s’envolèrent bruyamment. Un grognement mécontent se fit entendre, il n’appréciait pas de se faire réveiller et encore moins par de stupide poulet à plume.

À ce moment, la butte de sable se mit à bouger, comme secouer par un tremblement de terre. Rapidement, un pelage noir apparut et soudainement, là ou peu de temps auparavant se trouvait une butte sablonneuse tout à fait ordinaire, se trouvait un imposant loup au pelage couleur charbon. Son regard jaune était clairement mécontent. Secouant son corps avec force, il fit tomber ce qui restait de sable. Monster regarda autour de lui. Il ne savait plus trop pourquoi il était encore ici, mais sa ne l’intéressait pas vraiment. Ce qu’il savait, c’était que clairement il n’était pas seul dans ce désert. »

[Nul Pardon >.<']